Thomas Stamford

* Parlez-moi de vous…

Je n'aime pas particulièrement parler de moi, mais pour une fois je vais faire un effort, pour vous. Profitez en bien, c'est la dernière fois que je vous raconte ma vie, bien trop douloureux pour moi.

Je m'appelle Thomas Stamford, j'ai 32 ans, et je suis un raté. Ma vie pourrait se résumer à une succession de malheur et de conneries en tout genre. J'ai déjà dépassé la trentaine, et je suis célibataire, sans famille, sans argent et sans boulot. J'ai vraiment l'impression que ma vie n'est qu'une grande farce. Mais pour que vous compreniez un peu comment j'en suis arrivé là, je vais vous conter mon histoire.

Je suis né le 1er avril 1976 ( même ma date de naissance est une farce, c'est pour dire... ) à Florence, en Italie. Mon père ou du moins mon géniteur, Lorenzo Stamford était un brillant chirurgien, de renom, aimé et chéri de tous. Il était en apparence si parfait, intelligent, charmant, drôle, doux... Comment résister à un tel homme ? Il faisait un si beau parti, toutes les femmes le voulait, et malheureusement c'est ma mère, Alessandra Finneli, mannequin à l'époque, qui réussit à gagner son coeur. Tout s'enchaîna ensuite très vite, en quelques mois voilà qu'elle se retrouvait mariée et enceinte d'un rejeton, moi. Si dans la plupart des familles, l'arrivée d'un enfant rimait avec bonheur, il n'en était rien pour mon cas. Non Lorenzo voyait plutôt la venue de ce môme comme un boulet qu'il allait devoir se trainer pendant des années. Si ma mère au début était ravie de m'avoir, ce sentiment ne dura pas bien longtemps. Et effet, suite à ma venue dans ce monde, Lorenzo se montrait, raleur, colérique, voir violent. Pour la première fois il osa lever la main sur elle. Pour Aless, il n'y avait qu'une seule raison à ce changement de comportement : moi. Elle me tenait responsable des sautes d'humeur de mon père, de son tempérament colérique voir hargneux... Si je n'avais pas été là rien de tout ce ça ne se produirait. La pauvre, elle était eperdument amoureuse de cet homme, et ne se rendait même pas compte que c'était sa vraie nature. Vous savez la première chose qu'elle eut envie de faire ? De m'abandonner, me jeter dans un orphelinant. Seulement étrangement, ce fut mon père qui refusa, bah oui il avait une réputation à garder. Pour tout le monde il était l'homme intègre qui sauvait des vies tous les jours, alors que penserait on de lui si on savait qu'il avait abandonner son gosse ? Non c'était une chose qu'il ne pouvait pas se permettre.
Tous les soirs je craignais le retour de mon paternel, ne sachant jamais ce qui pourrait arriver. Certains soirs quand il était trop fatigué, il nous laissait tranquille ma mère et moi, intimant l'ordre de ne voir personne. C'était les seuls moments de répit que j'avais. Mais ils ne duraient pas bien longtemps. Dès que j'étais dans une même pièce que lui, je baissais sistématiquement la tête, j'avais peur de lui. Quoi de plus normal quand on est un petit garçon de 6 ans ? Il se fouttait souvent de moi, me traitant de tous les noms possibles, de tapette, poule mouillé, bon à rien et j'en passe... Dans ces moments là, il sortait sa ceinture, et me fouettait avec, prétextant que c'était pour mon bien, pour m'endurcir. Et pendant ce temps là, ma mère assistait sans rien dire à la scène, trop soulagée qu'aujourd'hui ça ne soit pas son tour. Combien de fois j'ai supplié à mon père d'arrêter ? Ou bien à ma mère de le quitter ? Seulement cela ne s'est jamais produit... Le syndrome de Stockholm vous connaissez ? C'est ce dont ma mère souffrait, malgré les violences physiques et psychologiques elle aimait son bourreau et en arrivait même à le défendre, lui trouvant toujours une excuse. Je continuai donc de vivre dans cet enfer durant de longues années. Et pendant tout ce temps, j'accumulais de la rage, de la colère en moi... Je vivais dans l'espoir qu'un jour cet homme serait puni pour ses crimes, d'une manière ou d'une autre. Que quelqu'un oserait lui tenir tête. Et cette personne, ce fut moi. En grandissant, je n'étais plus ce grigalet d'autrefois, finit de me proster devant cet homme, de trembler de peur à la simple idée de le voir, il était temps pour moi d'agir. Ce qui fut le déclencheur ? Le jour où mon père à faillit tuer ma mère de ses propres mains. Je rentrais de cours, et j'ai découvert mon géniteur, en train de frapper une énième fois ma mère. Seulement tout de suite, j'ai compris que cette fois c'était différent, cette lueure meurtrière dans ses yeux... Il était sur le point d'étrangler ma mère, elle était à l'agonie, je sentais ses forces faiblirent de plus en plus. Ne pouvant supporter d'assister à la scène impuissant, je décidai qu'il était grand temps de m'interposer. Tout cela avait assez duré. Quand j'intima à mon père d'arrêter, il relacha la pression de ses mains, se tourna vers moi et éclata d'un grand rire. J'entend encore aujourd'hui son rire grave, effrayant, raisonner à mes oreilles. Lorenzo me demanda moqueur ce que je comptais faire, le tuer peut être ? Ne jamais sous-estimé la volonté et surtout la colère d'un enfant accumulée depuis des années. Je bouillais intérieurement et n'avait qu'une envie, lui sauter dessus et le rouer de coup. Seulement je n'avais que 13 ans et je savais pertinnemment que physiquement je n'aurais jamais le dessus sur lui. Inconscient, voilà ce que j'étais, tout ce que j'allais arriver à faire c'était provoquer ma mort en plus de celle de ma mère. Lorenzo commença à s'avancer dangereusement vers moi. Sans réfléchir je pris le premier objet qui me vint sous la main, et le frappa de toutes mes forces à la tête. Mon père s'effrondra sous le coup, raide mort. Un cendrier ensanglanté à la main, mon père mort à mes pieds, je me rendis compte alors de la portée de mon geste : je venais de tuer mon père. Je tournai la tête vers ma mère, elle me regardait l'air effrayé, me criant dessus, puis s'écroulant sur le corps inerte de mon père, en sanglots. Qu'aurais je du ressentir à ce moment là ? De la peine ? De la douleur ? Et pourtant je ne pouvais m'empêcher d'être soulagé, soulagé à l'idée que ce cauchemard était fini, que ce monstre avait enfin eut ce qu'il méritait. Je ne versai même pas une seule larme, a vrai depuis ce moment là, je n'ai plus jamais pleuré de ma vie, pas une seule fois.

Une fois la police sur place, que j'avais contactée moi même, des inspecteurs m'intérogèrent et je leur racontèrent toute la vérité. C'était la première fois que j'osais dire à quelqu'un ce que nous subissions pendant des années. Malgré que c'était de la légitime défense, je fut placé dans un centre pour jeune délinquant mais que l'instant de quelques mois. Quand à ma mère, elle avait complètement perdue la boule et fut internée dans un hôpital pshychiatrique. Encore aujourd'hui je lui rend visite de temps en temps. En fait la plupart du temps elle reste là a fixer le mur pendant que je lui raconte ma vie.

A 14 ans, je fus placé dans un orphelinat ou j'y passa le reste de mon adolescence. J'étais un ado traumatisé, coupé du monde qui ne parlait à plus personne. Evidemment je vis pas mal de psychologues, suivit des thérapies de groupe... Je réappris quelques peu à vivre comme un ado normal. Bien que je savais que je ne le serais jamais. J'avais perdu mon inncence beaucoup trop tôt. Arrivé à l'âge de la majorité, je fus livré à moi même dans la rue. Je recevais certaines aides sociales ce qui fait que j'ai pu me prendre un logement décent. Bien sur j'avais arrêté les études, ayant beaucoup trop de lacunes. Je fis pas mal de petits boulots, plus ou moins légaux, passant de serveur, coursier à distributeur de journaux... Tout ce qui pouvait me rapporter de l'argent je le faisais. Travail au noir, streaptease, j'en suis même arriver au trafique de drogue, j'ai touché à tout. On peut dire que je n'étais pas quelqu'un de très fréquentable a vrai dire, je me suis fais plusieurs fois arrêté pour des délits mineurs, comme conduite en état d'ivresse, tapage nocture, insubordination à agents, dégradation de matériels... J'ai une liste longue comme mon bras. Et j'ai tout de même mené cette vie pendant plus de dix ans ! Jusqu'a que je me fasse arrêter... Pour avoir fait la plus grosse connerie de ma vie. Des potes m'ont entrainés dans un plan foireux, stupide, braquer une banque. Soit disant qu'ils avaient un plan infaillible, qu'ils connaissaient des contacts à l'intérieur... Et moi je me suis laissé embarquer dans cette histoire, attiré par la grosse somme d'argent à la clé. Seulement voilà ce fut un échec total, quelqu'un avait réussi à prévenir les flis. J'ai été inculpé pour braquage à main armée et en ai prit pour deux ans.

A ma sortie de prison, j'étais un homme nouveau. Bienvenue les bonnes résolutions. J'ai décidé qu'il était temps que je me renge, que je mène une vie saine, en toute légalité, que je sois un bon citoyen. Ras le bol d'avoir honte de moi même, pour une fois j'aimerais être fier de moi, de ce que j'ai fais. C'est pourquoi depuis quelques mois j'ai arrêté les conneries et donne l'image d'un parfait gentleman, propre sur lui, qui n'a rien à se repprocher. Je me suis trouvé un studio, pas terrible, mais ça fait l'affaire. Le seul truc qui pose problème, c'est trouver un job. Personne ne veut d'un déliquant, au casier judiciaire bien rempli. En même temps je peux le comprendre, moi même je ne m'engagerais pas.

Voilà, vous savez tout de moi, et de ma misérable existence.


* Décrivez moi la façon dont vous vous percevez ?

Comment je me décrirais physiquement ? Et bien sans me vanter je pourrais aisément dire que Mère Nature m’a plutôt bien gâté de ce côté. Peut être en quelque sorte pour compenser le reste, je ne sais pas. Quoi qu’il en soit je n’ai pas à me plaindre à ce niveau là. Je suis plutôt grand, 1m88, pour 85 kilos de muscles. En effet je fais beaucoup de sport, ce qui fait que j’ai un corps d’athlète. En même temps, en deux ans de prison, j’ai eu le temps d’en faire de la muscu… La partie que je préfère chez moi reste mes yeux incroyablement bleus. On m’a toujours dit que j’avais un regard pénétrant et envoûtant dont on avait du mal à se détacher. J’ai les cheveux bruns, coupés courts. Vous pourrez souvent me voir arborer une barbe de plusieurs jours, ayant bien souvent la flemme de me raser. Généralement je ne le fais que dès que ça devient trop gênant.

Je ne me trouve pas parfait, bien au contraire. Par exemple je déteste mon nez, ou bien mes oreilles qui sont un peu trop décollées à mon goût. Mais je n’en fais pas une fixette, attendez il y’a pire comme défaut quand même.

Je sais que j’ai un certain charme, et que je plais beaucoup à la gente féminine, mais ce n’est pas pour autant que je m’en vente. Du genre, regardez moi comme je suis beau… Non loin de là. A vrai dire je ne porte pas une grande importance au physique, après tout il y’a des choses beaucoup plus importantes dans la vie. Je ne fais même pas attention à ma ligne, bon j’avoue je fais parti de ce genre de personnes qui ont la chance de pouvoir engloutir des tonnes de cochonneries sans prendre un gramme.

N'ayant pas les moyens, je ne peux pas me permettre d'acheter des grandes marques de vêtements, c'est pourquoi je me contente du minimum. Mais ce n'est pas parce que je ne possède pas de marques, que je ne sais pas m'habiller. Au contraire, à ce qu'il parait j'ai bon gout. Je n'ai pas vraiment de style à proprement parlé, j'aime bien varié. Un jour vous pourrez me voir en short et tong, comme en jean et chemise...

* Savez-vous dire « non » ?

J'ai plutôt un caractère assez complexe, de toute manière je n'ai jamais eu pour habitude de faire dans la simplicité. Personne ne connaît ma personnalité dans son ensemble, peut être certains aspects par ci par là, mais c'est tout. Pourquoi me direz vous ? Tout simplement pour la bonne raison que je ne laisse personne entrer dans ma vie, à vrai dire j'ai un très gros problème de confiance. Et ce depuis tout petit. Les psy vous diront sans doute que c'est dû au traumatisme subi dans mon enfance, avec mon père violent qui battait ma mère et moi par occasion. Ils ont probablement raison je ne sais pas, il n'empêche que je n'arrive pas à me fier à la race humaine, si imprévisible. Après tout je ne me ferais même pas confiance. La vie n'a pas été très rose avec moi, j'ai eu un passé plutôt turbulent, qui a fait de moi l'homme que je suis aujourd'hui. Néanmoins les dures épreuves de la vie, m'ont permit de me rendre plus fort. De plus je me suis construit une carapace, afin de me protéger au niveau émotionnel. J'ai pour habitude de ne jamais montrer mes sentiments, et je me sers d'ailleurs beaucoup du sarcasme et de l'humour comme une sorte de mécanisme d'autodéfense. Faire semblant de ne jamais prendre les choses au sérieux, se la jouer "je m'en foutiste", voilà ma méthode. De ce fait, certains pourront penser que je suis quelqu'un d'insensible, qui se fiche éperdument des autres, mais c'est faux. Je sais qu'aux premiers abords j'ai tendance à donner une image assez négative de moi. En effet je peux paraître assez dur, froid et distant avec les personnes que je ne connais pas. On peut pas vraiment me qualifier comme un être très sociable, mais croyez moi je fais des efforts pour paraître plus aimable. Quand on se donne l'effort de mieux me connaître, les gens se rendent très vite compte que je ne suis pas l'homme que je laisse paraître. En fait je me révèle être un très bon confident, à l'écoute et dont le bien être de mes proches me préoccupe. De plus, je peux me montrer d'excellente compagnie quand je le veux, sympa, drôle, charmant, attentionné... Ho je sais être un parfait gentleman, j'ai toujours traité correctement une femme, avec le plus grand respect. Croyez le ou non, mais en fait je suis un grand romantique dans l'âme, dîner aux chandelles, mots doux, gestes tendres...C'est tout moi ! Et oui vous pourrez bien être surpris par certaines de mes facettes.

J'ai le sang chaud, j'ai beaucoup de mal à contrôler mes pulsions, quelqu’elles soient, ce qui fait que je peux m'embringuer souvent dans des emmerdes pas possibles, tout ça parce que j'ai pas su me retenir. Bon j'avoue je les cherche un peu aussi. Ce dont j'ai omis de vous parler, c'est de ma tendance cleptomane, enfin je n'en suis pas encore au point de voler par simple plaisir, mais le fait est que j'ai été pas mal dans la galère, sans un sou, désespéré et donc le seul moyen que j'avais trouvé pour pallier à ça, c'était de voler. Ce n’est pas pour rien que je me suis retrouvé deux ans en taule. Néanmoins mon séjour à l'ombre m'a permit de réaliser, qu'une vie dans le péché, ce n'était pas la solution. J'ai donc décidé d'oublier mon passé de voyou, et de me reprendre en main. Finit les conneries, il est temps que je me responsabilise un peu et que j'apprenne à filer dans le droit chemin, être un honnête citoyen - ce qui ne va pas être facile, je vous l'avoue.

* Pouvez-vous me parler d’une expérience qui vous a particulièrement marqué(e) ?

Des évènements marquants, ça il n'en manque pas dans ma vie. Je pourrais vous en racontez des dizaines et des dizaines. Alors j'ai décidé que je vous parlerez plutôt de celui le plus récent, encore tout frais dans ma tête : mon séjour à l'ombre. La prison, ça vous change un homme, vous n'en ressortez plus le même. Pour tout vous dire, je vois ces 24 mois derrières les barreaux comme quelque chose de bénéfique. Cela m'a permit d'avancer dans la vie, de devenir un homme meilleur. J'ai vécu cette expérience comme une sorte de purgatoire, une étape indispensable par laquelle je devais passer, afin de purifier mon âme de tout ces péchés. Ho bien sur cela n'a pas été facile, passer son temps enfermé, avec pour seule compagnie ses pensées, est plutôt éprouvant je dois dire. De plus c'est un lieu dangereux, ou vous pouvez facilement vous faire éventrer en un rien de temps. Heureusement j'ai réussi à me tenir à carreau, et à ne me mettre personne à dos. Je n'ai même pas provoqué une seule baggare c'est pour dire ! En même temps si je tenais à ma peau valait mieux pas. Tout ça pour dire qu'après ce passage, je suis devenu un homme nouveau, ou du moins j'essaye de l'être.

* Que faites-vous pendant vos loisirs ? Quelles sont vos passions ?

J'ai un gout certain pour le danger, tout ce qui vous fait monter l'adrénaline. Que je volais, il y'avait toujours un brin d'excitation du au fait qu'on risque de se faire prendre à tout moment. Bon j'avoue ça retombe d'un coup quand on se fait réellement choper. Ha oui deux ans de prison ça m'a refroidit je peux vous le dire. Finit la délinquance. J'ai trouvé autre chose pour pallier à ça, les sports extrêmes. Sauter en parachute, à l'élastique, faire des courses de voiture... ça c'est tripant.

* Aimez-vous le travail en équipe ?

Je ne suis pas quelqu'un de particulièrement sociable, a vrai dire je suis plutôt un solitaire. Ho j'en ai eu des amis dans ma vie bien sur, mais depuis mon séjour en prison j'ai coupé les ponts avec eux. Je me suis rendu compte qu'ils n'étaient pas de bonne fréquentation, et que comme j'ai l'intention de m'améliorer, si je reste avec eux, ils ne vont faire que m'enfoncer encore plus bas et m'entrainer une fois de plus à la dérive. Je suis un indépendant, dès mon plus jeune âge j'ai du me débrouiller tout seul dans la vie, bon c'est vrai qu'on peut pas dire que ça m'a vraiment réussi... M'enfin peut importe au moins je ne dépends de rien, et je n'ai aucun comptes à rendre à personne, enfin sauf à mon controleur judiciaire, mais ça c'est une autre histoire. Quelques mois après ma libération, j'ai fais la rencontre d'une charmante demoiselle Raquel Harper, une bijoutière, sur qui j'ai littéralement craqué. Bien évidemment je ne lui ai pas parlé de mon passé, et lui ment sur beaucoup de points, afin d'arranger un peu la réalité. Pour la bonne raison que je ne veux pas prendre le risque de la perdre, car que penserait elle d'un délinquant récidiviste qui à fait de la prison pour braquage à main armé ? Surement pas du bien... C'est pourquoi je préfère éviter ce passage, étant persuadé qu'elle prendrait les jambes à son cou si je le lui avouais.

* Acceptez-vous qu'Anonymous* vous envoie des défis ou des RP à faire ? Oui bien sur

HRP :
Un commentaire ? J'adore le contexte, le design... Magnifique travail, bravo.

Je te le réserve sans problèmes ! Mais ne tarde pas trop quand même

Voilà j'ai enfin fini J'espère que tout est bon.

Jolie fiche =)