Milla Isard

* Parlez-moi de vous…
"Parlez-moi de vous"… J’ai l’impression de me retrouver devant un questionnaire à remplir, que les professeurs vous donnent à la rentrée. Vous savez ceux que, généralement, on remplit à la va-vite, car on n’a pas vraiment l’envie de s’attarder sur une chose que l’on trouve aussi futile. Mais bref, nous ne sommes pas là pour parler de ça, n’est-ce pas ? C’est bien ce que je pensais. Si vous êtes prêt à entendre l’histoire d’une princesse qui a perdu très jeune sa couronne, je vous invite à continuer de m’écouter. Je m’appelle Milla Isard et je ne suis pas née dans la famille que j’aurais voulu avoir. Mes parents, des riches industriels au sang soit disant 'supérieur', avaient une idée très avancée sur le sujet : pour eux, il y avait deux catégories : les riches (eux) et les pauvres. En effet, mes parents, étaient particulièrement désagréable au possible. Sévère et insupportable, ils sauvent néanmoins toujours les honneurs quand il faut. Ils n'avaient pas d'autres idées dans la tête à part faire de leur fils aîné le meilleur homme possible. Alors, James (mon frère) serait dans l'une des meilleures écoles de toute l'Amérique et il aurait une grande destinée ; c'était certain. Sauf que voilà : et moi, dans tout ça ?
Ma naissance, contre tout attente, fut particulièrement joyeuse. En effet, j’étais la deuxième enfant de la famille et cela mettait tout le monde dans une grande allégresse. Pendant les premiers mois qui suivirent, Joce et Meredith Isard se révélèrent être des parents exemplaires, quittant même leurs travails pour s'occuper de moi. Mais le fait qu'il se consacre ainsi à leur fille était éphémère, et ils me délaissèrent bien vite. En effet, dès mes trois ans, je fus confiée à une nourrice, mes parents n'étant pas souvent là. Ils partaient très tôt le matin, et ne revenaient que le soir, parfois très tard, après minuit. La nurse, qui se prénommait Jessy, était particulièrement gentille et attentionnée avec moi. Quand je pleurais, c'était en jouant du grand piano familial qu'elle me calmait et que je m’endormais dans mon berceau, le sourire aux lèvres...
Ce petite manège dura jusqu'à mes dix ans, âge où mes parents décidèrent, pour une raison inconnue, de congédier Jessy. Les cris, les larmes, les protestations, les menaces -du moins, celle que je pouvais faire du haut de mes dix ans-, n'y firent rien. Mes géniteurs, ne pouvant pas rester à la maison, engagèrent une nouvelle nourrice. Mais moi, ne l'entendant pas de cette oreille, lui mena la vie dure : piège, farces, fugues, peur bleue ; la nouvelle nourrice en vit de tout les couleurs. Si bien qu'un beau jour, elle démissionna et ma mère fut bien obligée de rester à la maison plus souvent, pour s'occuper de sa fille. Mais il ne fallait pas croire qu'elle fit plus attention à moi pour autant, bien au contraire : elle ne m'adressait même plus la parole.
Je crois que c'est à ce moment là que ma passion pour tout ce qui touchait à la comédie naquit. Enfin, je devrais plutôt dire se développa. En effet, je suis aujourd'hui encore persuadée qu'elle était présente depuis ma naissance. En même temps, mes parents renforcèrent leur attention sur mon grand frère et j'avais souvent l'impression d'être invisible. Lui ne s'en fichait pas totalement : il venait souvent me parler, pour me rassurer et m'assurer qu'il n'avait jamais voulu tout ça. Il était parfaitement conscient du rejet qu'opéraient mes parents sur moi et il en était totalement désespéré et gêné. Mais, voyez-vous, il ne pouvait rien faire, à part continuer à jouer le rôle de l'enfant modèle. Pour ça, je ne lui en ai jamais voulu. J'imagine qu'à sa place, j'aurais fait exactement pareil. En attendant, je n'avais plus envie de rentrer le soir et je passais donc mes soirées dans le théâtre le plus près de ma maison, à répéter encore et toujours. Parallèlement, j'ai fais mon entrée au collège. Tout de suite, j'ai sorti mon épingle du jeu : j'avais souvent les meilleures notes mais pas forcément beaucoup d'amis. Vous savez, pendant l'adolescence, les gens sont parfois méchants entre eux, sans raison apparente et ce n'est jamais très bien vu d'être une 'intello'. Mais que voulez-vous ? La littérature et le théâtre étaient les seules solutions pour que je puisse m'évader un peu.
Ma vie s'est donc déroulée normalement, sans aucuns événements très intéressants. Je mangeais, je travaillais, je me lavais, je me couchais. Je n'étais pas en déprime, non ; seulement... je n'avais personne à qui parler une fois arrivée chez moi. La relation avec mes parents se dégradé de jour en jour et mon frère pouvait de moins en moins m'apporter son soutien. Tandis que je rentrais au lycée, il commençait ses études de médecine et il devenait encore plus grand et merveilleux. A côté de lui, je n'étais rien, absolument rien. Mais je finissais par m'habituer : si je tenais, c'était grâce à ma passion, grâce à la comédie.
Au lycée, l'ambiance était radicalement différente de celle de ma maison où même de celle du collège. Sans doute plus matures, les élèves comprenaient mieux l'intérêt que je portais à tout ce qui tenait du domaine littéraire. Je brillais totalement par mes notes et je faisais parti des élèves les plus populaires. C'était bien simple : tout le monde m'adorait. Pour la première fois de ma vie, j'ai eu la sensation d'exister et d'être utile, reconnue. J'étais à l'aise quelque part et finalement, je vivais pour autre chose que pour ma passion.
Mais pourtant, je n'envisageais pas de longues études pour intégrer une quelconque grande école. Je ne voulais pas suivre le même chemin que mon frère et, si la fierté y est pour quelque chose, c'était surtout parce que j'avais trouvé ma voie : actrice. Alors, une fois mes années lycées terminés, j'ai intégré une école d'art pour y faire quelques années d'étude. Une fois mon diplôme en poche, j'ai ressenti le besoin de changer d'air. J'étais beaucoup trop oppressée, malgré le fait que j'ai pris un appartement pour moi seule dès mes dix-huit ans. J'ai embarqué dans le premier avion en partance pour l'Italie et j'ai choisi de m'installer dans la capitale. D'auditions en auditions, d'échecs en échecs, je me suis rendue compte que j'avais du talent, mais pas l'expérience qui allait avec. Mais je n'ai pas baissé les bras et j'ai choisi d'intégrer le plateau du dernier film de Sofia Coppola, en tant que maquilleuse. Mais je n'abandonnerais pas mon rêve, pas à seulement vingt et un ans...

* Décrivez moi la façon dont vous vous percevez ?
Pendant très longtemps, je me suis considérée comme 'banale'. Au collège, j’ai souvent eu l’impression d’être invisible et fade, incroyablement fade. Les gens ne se retournaient pas sur mon passage et, la plupart du temps, personne ne venait m’aborder. J’étais la petite intello du coin, la paumée, la petite sœur de James. De ce fait, je n’ai jamais eu une très grande opinion de mon physique et de moi-même. J’ai longtemps été complexée. Je me cachais dans des vêtements amples, pour éviter que les gens puissent voir mon corps qui, à l’époque déjà, était attirant, mais dont je ne me rendais pas compte. Le seul endroit où je pouvais me montrer en toute liberté, sans honte était la scène du théâtre de ma ville. Par la suite, et en grandissant, je me suis rendu compte de ma beauté. Ce n’est pas de la vanité, bien au contraire. Je n’aime pas ça. Mais nous sommes ici pour parler de ma perception de moi-même, alors continuons là-dessus. Je ressemble trait pour trait à ma mère.
Je possède de longs noirs bruns foncés, nuancés de mèches un peu plus claires. Le plus souvent, je les laisse lâchés. Je ne les attache que pour les 'grandes occasions' : un bal ou un dîner réunissant toute la famille Isard qui est bien nombreuse, croyez-moi. Je suis assez grande pour mon âge et, sans pour autant être maigre, je suis fine. Il n'y a que mes yeux que je n’ai hérité de personne : ovales et d'un brun vert si clair qu'on s'y perdrait presque. Toujours dotés d'une lueur espiègle. La plupart de mes émotions se lisent dedans, d’ailleurs. Peur, joie, envie… tout passe par mon regard. Ma peau est blanche, légèrement bronzée. Mon visage, doux, détient des traits fins. Chaque personne a un petit truc en plus ; le mien, c'est mon sourire : frais, joyeux, rassurant, intense. Quand je souris, il semble que le monde s'illumine. Il peut néanmoins se révéler être naïf quand j’ai besoin de convaincre quelqu'un. De toute façon, il est presque toujours présent sur mes lèvres ; peu importe la forme qu'il prend. Sinon, il faut vraiment que je sois très triste pour qu'il disparaisse. Je suis une jeune fille qui dégage quelque chose, une sorte de magnétisme qui intrigue et qui me rend peut-être un peu mystérieuse. En tout cas, on a vite envie d'en savoir un peu plus sur moi…
Comme dit plus haut, j’essaye d'être la plus naturelle possible. En fait, ma façon de m’habiller dépends de mon humeur et de ce que je prévois de faire durant ma journée. Pendant la matinée, je ne me maquille alors pas trop, juste les yeux, en général. Quand arrive le week-end ou quand j’ai une après-midi libre, je n’hésite pas à me mettre à l’aise : un petit haut et un pantalon en jeans suffira largement. Par contre, lors des fêtes, j’aime être bien habillée : belle robe, bijoux au cou et aux poignets, chaussures à talons, cheveux relevés en un chignon impeccable… je sais alors me mettre totalement en valeur, même si mon maquillage reste toujours discret. En bref, je sais être simple quand il le faut, mais j’aime être belle quand je le veux. Néanmoins, mon éducation m’inculqué qu'il fallait reste humble en toutes circonstances…
Quant à ma façon de me tenir... Je me tiens droite, d'une attitude qui paraît posée et sûre de moi. Mon regard est souvent tourné vers l'horizon et je ne baisse pas les yeux quand quelqu'un me parle. Je possède donc une façon polie de me tenir et surtout décontractée, ce qui ne contraste pas avec mon caractère. J’essaye donc de toujours mettre à l'aise mes interlocuteurs, car je suis moi-même quelqu'un de doux, qui attire la confiance.

* Pouvez-vous me parler d’une expérience qui vous a particulièrement marqué(e) ?
J’avais un peu près cinq ans, ce jour-là. Après un rapide sermon sur la façon dont j’avais, soit disant, était inconsciente au point de me faire mal il y a quelques jours de cela, ma mère me laissa sortir, mon cerf-volant sous le bras. Malgré la fin d'après-midi qui approchait à grand pas, le temps était clair et il y avait beaucoup du vent : c'était le moment idéal pour le faire voler. L'une des rare fois où j’avais pu essayer, je n’y étais pas arrivée. Mais je n’abandonnais jamais, c'était bien connu. Rien n'aurait pu me faire dévier de mon but, qui était bien évidemment celui d'une petite fille de primaire : faire décoller mon cerf-volant du sol.
Ma robe tournoyant à cause du vent, je sortis de mon immense maison pour m'aventurer dans le parc tout aussi grand qui appartenait à ma famille. Je le connaissais par coeur car, depuis que je suis née, c'était pratiquement ma seule occupation. Peu de petits camarades signifiaient peu d'amusement. Je n'avait donc eu d'autre choix que de celui de visiter mon habitat. Et puis, c'était le seul endroit où je pouvais me réfugier quand la pression familiale devenait trop forte, posée sur mes petites épaules encore frêles.
Je me souviendrais toujours de ce jour. C'était l'automne et les feuilles d'une belle couleur rousse jonchaient le sol, semblant se rejoindre pour former un tapis végétal, attendant que j'y pose les pieds. Avec toute l'énergie de mes petites jambes, je me mis à courir en riant, heureuse d'être enfin seule et de m'amuser. J'atteignis un endroit sans arbre, où je pourrais faire voler mon cerf-volant sans risque de l'emmêler dans un arbre. Mais il y avait déjà quelqu'un. Quelqu'un que je ne connaissais pas... où alors, seulement de nom.
Le plus discrètement possible, j'observais le jeune garçon. Lui aussi avait un jouet et lui aussi voulait le faire voler. Et, bien entendu, il y arrivait. Je me souvenais de l'avoir déjà aperçu dans la rue. C'était un jeune garçon que ses parents avaient interdit d'approcher. Je n'ai jamais su pourquoi et, encore aujourd'hui, je ne suis pas au courant.
Sortant de ma cachette, je me plaçai à côté du jeune garçon, sans lui accorder un regard, bien décidée à réussir à faire voler mon cerf-volant, moi aussi. Déterminée, j'essaya plusieurs fois, mais en vain. Lui avait cessé son jeu et me regardait d'un air un peu étonné. Un peu gênée de me rendre ridicule de cette manière, je me tournai vers lui en souriant.

"Tu peux m'aider, s'il te plaît ?"

Il avait l'air tellement réservé et mélancolique, que je cru tout d'abord qu'il allait refuser. Finalement, il accepta de me montrer comment faire. Et, pour la première fois de ma vie, j'eu le bonheur enfantin de voir mon jouet volant dans les airs, accompagné de grand éclat de rire de ma part.

"Merci beaucoup ! Tu es le meilleur ! Ah, au fait, moi c'est Laureen. Et toi ?"

Je n'arrive plus à me souvenir de ce qu'il m'a répondu. De ce fait, j'ai complètement oublié son nom. Tout ce dont je me rappelle, c'est que je me suis rendue compte qu'il avait pour interdiction de venir dans le parc familial car c'était un domaine privé. Alors, très rapidement, je l'ai fait sortir par la petite porte derrière le jardin, avant que mes parents ne se rendent compte de sa présence. Ils se seraient certainement énervés. Par la suite, je l'ai souvent revu. Il était même devenu mon meilleur ami, ce que mes géniteurs acceptèrent mais à contre coeur. Mon premier et seul vrai ami, à l'époque. Quelques années plus tard, il déménagea et je ne le revis plus jamais. Je regrette beaucoup de ne pas avoir pu garder contact avec lui et je garde secrètement l'espoir de le revoir un jour.

Tu as aussi compris les regles =)

Bienvenue Milla numéro 4 ^^!
Dire qu'il y a 4 Milla et pas un seul Leo... grrrrr.
Bon amusement miss et bon courage pour la suite de ta fiche! Puisse la malédiction des Milla (qui s'inscrivent et ne finissent pas leur fiche) prendre un terme avec toi !

* Savez-vous dire « non » ? { 10 lignes minimum }
"Stracciatella"

Bien sûr que je sais dire non, même si je suis d'une personnalité plutôt extravertie, parfois même un peu 'fofolle'. Je me considère comme une femme courageuse, téméraire – parfois même imprudente – et intelligente. Complètement allergique aux règlements, je déteste que l’on me dicte ce que je dois faire et j'ai du mal à faire ce que les autres font aussi. Mon sens de l’humour est très développé et j'adore faire des farces et des blagues aux gens. Loyale et fidèle en amour comme en amitié, j'exècre les injustices et les gens qui se croient sortis de la Cuisse de Jupiter. Je suis également quelqu’un d’aimable, de drôle et de digne de confiance. J'aime être entourée et je fuis la solitude le plus possible. Toujours en mouvement, toujours en action, je suis une jeune femme qui a besoin de bouger et je ne supporte donc pas de rester sans rien faire. Je me révèle ainsi être très impatiente et c’est parfois très embêtant. Maligne, je suis la reine des improvisations quand tout ne se passe pas comme je le voudrais. Mon indépendance me pousse à rester moi-même et à ne surtout pas changer pour les autres. J'ai aussi une grande prédisposition pour m'attirer des ennuis, mais c’est en parti à cause de ma curiosité assez élevée. Ma joie de vivre à toutes épreuves intrigue parfois, mais on s’habitue vite. Je sais rire de tout, mais être sérieuse quand il le faut, je sais le faire aussi. Malgré tout, sous ce caractère flamboyant, je reste quelqu’un de doux et de sensible, même si je ne suis pas du genre à pleurer pour un rien. Gentil et à l’écoute des autres, je ne me fera pas prier pour aller aider mes proches quand ils en ont besoin, car je suis soucieuse de leur bonheur. De ce fait, je révèle parfois ma naïveté enfantine. Pour moi, le simple fait de dire ce qui va ou ce qui ne va pas chez quelqu’un peut réussir à changer cette personne. Forcément, je me retrouve souvent déçue quand je me rends compte que rien n’a été transformé chez ce même individu. Cela peut faire sourire, mais ça devient un réel problème quand il s’agit de se confier : j'ai tendance à faire confiance à n’importe qui. Maladroite, j'ai parfois du mal à exprimer ce que je ressens. Mais cette maladresse n'est pas seulement métaphorique : il m'arrive souvent de faire tomber des objets ou même de les casser ! Un peu cynique sur les bords, il arrive parfois que mon humour noir ne plaise pas à tout le monde et qu'elle blesse des personnes. Néanmoins, je m'arrange toujours pour aller m'excuser et pour me faire pardonner. Enfin, d'une inventivité extrême, je réussis généralement tout ce que j’entreprends et j'ai souvent des milliers d'idées par secondes, sur un sujet ou sur un autre. Et si il y a bien un défaut horrible et extrême chez moi... c'est mon horrible possessivité. En effet, je déteste plus que tout le fait que mes amis aient d'autres proches si je ne les aime pas. Et, malheureusement, si ça concerne l'homme que j'aime, c'est encore pire : je deviens réellement insupportable s'il s'approche d'une autre femme. Mais comme je sais que c'est horrible, j'arrive à me calmer quand il le faut. De ce fait, je suis donc extrêmement jalouse et j'ai bien du mal à canaliser cette jalousie.

* Que faites-vous pendant vos loisirs ? Quelles sont vos passions ?
En première ligne, vient bien entendu le théâtre. C'est une vraie passion pour moi qui s'est révélée très tôt. C'est ce que je fais pendant tout mon temps libre : je ne cesse de répéter et répéter encore. Mais ne vous méprenez pas : j'adore bien entendu sortir avec mes amis et prendre du bon temps. Je ne suis pas une acharnée de travail non plus.
Tout ce qui est rapport avec la littérature et le savoir, j'apprécie. De ce fait, j'adore lire et apprendre. Par contre, ce que je n'ai jamais dit à personne, c'est que je joue de la guitare et qu'il m'arrive parfois de pousser la chansonnette, mais rien de plus, bien que j'adore la musique. Mes couleurs préférées sont le rouge, l’orange, le jaune… toutes les couleurs chaudes qui font penser à l’été, à la joie de vivre… en résumé, toutes ces couleurs qui me ressemblent ! Je suis une jeune femme qui adore également défendre des causes qui lui semblent juste et je n'hésiterai pas à défiler dans la rue si il le faut. Si il y a une manifestation organisée pour la défense des animaux, vous pouvez être sûre de m'y voir ! De ce fait, je suis une passionnée dans l'âme. Je m'intéresse beaucoup au cinéma et à tout ce qui touche à l'art, bien que les musées ne soit pas mon truc. Si vous me cherchez, vous risquez donc de me trouver dans un cinéma ou dans une bibliothèque... Je suis une jeune femme également passionnée par l'équitation et par tout ce qui concerne les animaux. Je suis une personne très créative et je suis sans cesse en train de faire des travaux manuels.
Peu écrivaine, je ne suis pas fana des nouvelles écrites sur un coin de parchemin et encore moins des journaux intimes. Quel est l’intérêt de confier sa vie dans un cahier que personne ne peut lire ? Je n’en vois aucun. En bref, il m'arrive très rarement d’écrire et je l’avoue très volontiers…

* Aimez-vous le travail en équipe ?
Je n'aime pas le travail en équipe : j'adore ! Il faut savoir que je suis une fille plus que sociable. A vrai dire, je n'imagine pas ma vie sans amis, sans connaissance, sans compagnons. J'ai donc beaucoup d'amis. Il suffit de me parler et vous pouvez être sûr d'être déjà considéré comme quelqu'un de proche de moi ! Je me considère donc comme quelqu'un de relativement aimable et sincère. La plupart du temps, les gens aiment travailler et collaborer avec moi. Néanmoins, j'ai toujours détesté les statuts du genre 'meilleur(e) ami(e)'. Je trouve ça complètement idiot : comment peut-on être sûr de s'entendre toujours excellemment bien avec la même personne et ce pendant des années ? On ne peut pas prévoir l'avenir, aussi je ne comprends pas les gens qui sont persuadés qu'ils apprécieront toujours les mêmes personnes, des siècles plus tard. Ici, je suis très proche de Heather O'Leen, avec qui j'aime beaucoup parler, sortir et m'amuser. C'est une bonne amie et je l'apprécie beaucoup. Mais je suis toujours ouverte à faire de nouvelles connaissances. D'ailleurs, je n'attends que ça... [A noter que l’acteur Lloyd Zane est amoureux d'elle et que Milla n'en a absolument pas conscience. Pour elle, il s'intéresse seulement à l'actrice principale, comme tout le monde. Mais il ne la laisse toutefois pas de marbre.]

* Acceptez-vous qu'Anonymous* vous envoie des défis ou des RP à faire ?
Oui, bien entendu =)

HRP :
Un commentaire ? Ce forum est magnifique, sincèrement ! Le contexte est super et le design sublime. On voit que vous avez beaucoup travaillé sur les personnages prédéfinis et je vous applaudis ^^

[Merci à vous deux =D Je suis obligée de poster la suite de ma présentation à la suite de vos posts, car tout ne rentre pas dans le premier message ^^"]

jolie fiche =)

Bienvenue!